
«Kornazov est un musicien de pupitre infaillible et un soliste de choc. ...A force de travail, il a développé sur cet instrument réputé ingrat une virtuosité étonnante, doublée d’une sonorité unique, vibrante et malléable. ...Un grain inimitable qui évoque la chaleur de la voix humaine. Gueorgui parvient à assumer pleinement son identité de jazzman, tout en restant fidèle à ses origines, qui demeurent toujours présentes en filigrane. ...un beau témoignage de l’esprit cosmopolite qui anime ce formidable musicien» PASCAL ROZAT, JAZZMAN
"Mon tromboniste préféré ces derniers temps: j'admire souvent Gueorgui Kornazov. Gueorgui est si unique que je ne sais même pas comment le catégoriser. Il est l'un des trombonistes les plus uniques que j'aie jamais entendu à coup sûr. Et il a tellement d'énergie sauvage. C'est inspirant à regarder! D'une certaine manière, cela me rappelle Ray Anderson, mais le langage qu'il utilise est complètement différent - plus chromatique. Dans ses improvisations résonnent la musique folklorique de sa Bulgarie natale, mais c'est tout ce que je peux dire. Écoutez-le vous-même!"
MAXWELL ACREE, TROMBONISTE DE JAZZ, Boston USA 29/12/2020
«Gueorgui Kornazov est un musicien accompli, précis et minutieux sans être jamais précieux. Au charme il préfère la magie et elle agit»
JEAN-PAUL GAVARD, LES IMMORTELS

«Kornazov fait partie de ces jazzmen avec une ligne directrice et une sonorité propre» FRANPI BARRIAUX, SUN SHIP

« Gueorgui Kornazov, c’est un univers mixte entre Bulgarie et jazz occidental, un savant mélange de mélodies irrésistibles passé au tamis de la contemporanéité» YVES DORISSON, CULTUREJAZZ

"La musique de Kornazov couvre toute la palette des atmosphères possibles, de la beauté songeuse à la sauvagerie tempétueuse» CONCERTO N°6/2008
«...Une musique entraînante, fusion de toutes les cultures européennes, à commencer bien sur par celle de l’Est dans le chaudron du jazz restant la référence. Une réussite sympathique que ce « Viara », un de ces disques qui restent dans nos cœurs» NICOLAS BENIES, ROUGE- Hebdomadaire de la LCR
«Ce disque-là, il est si bon qu’on est tenté de n’en rien dire...Une grandeur d’âme parcourt cette musique, ce qui la distingue c’est indubitable, une justesse pétrie d’émotion aussi » YVES DORISSON, CULTUREJAZZ

PRESSE "THE BUDAPEST CONCERT" 2014
«Concert enregistré live lors du Jazz Forum Festival de Budapest en septembre 2011 et ponctué d'une fougueuse salve d'applaudissements. Au répertoire, rien que des compositions originales de Gueorgui Kornazov: une alternance entre mélodies festives aux rythmes colorés et mélodies planantes. Tout au long de l'album, on se délecte du gros son gras de Gueorgui Kornazov, avec une maîtrise parfaite de la technique des multi-sons...
...une des meilleurs formations de la scène européenne...
...Voilà bien l'un des albums les plus passionnants de ces derniers mois»
CLAUDE LOXHAY, JAZZHALO, Belgium
«Album parfait! Musique langoureuse et apaisante atteint nos sens, des belles lignes melodiques flambée explosent parfois dans la conscience. Lyrisme, éléments de musique des Balkans, lignes mélodiques douces et charmantes, et en même temps indomptable énergie...Unique et one-of-a-kind magie du jazz.»
ROBERT RATAJCZAK, LongPlay, Poland
«Kornazov démontre sa technique impressionnante et un large éventail d'idées expressives...Musique toujours stimulant et passionnante.»
SCOTT YANOW, Los Angeles Jazz Scene
«Un album moderne plein de vie, d'émotions et de contrastes forts!»
PATRICK ŠPANKO, Skjazz.sk, Slovenie
«Depuis plusieurs années, le tromboniste bulgare Gueorgui Kornazov promène son quintet Horizons sous toutes les latitudes. Bien connu en France, où on le découvre - au début de l’aventure Yolk - dans l’OLH acoustic de Geoffroy Tamisier en 2001, il a longtemps été le comparse d’Henri Texier au sein du Strada Sextet, aux côtés notamment du guitariste Manu Codjia, pilier originel du quintet «Horizons» ; on peut reconnaître d’ailleurs dans «Na Toni», ouverture de ce Budapest Concert, des traces d’une existence commune au sein des orchestres de Texier par la profusion de couleurs et l’équilibre d’un quintet ou brille une paire rythmique composé du contrebassiste Marc Buronfosse et l’élégant batteur Karl Jannuska. Dans l’écriture simple et percutante de Kornazov, qui interpelle la tradition balkanique sans jamais s’y enfermer, Codjia se fait sculpteur de nuances atmosphériques (le duveteux «Children's Song»). Sorti sur le label Budapest Music Center, et bénéficiant donc du savoir-faire hongrois dans la chaleureuse captation de ce concert [Enregistré en 2011 au BMC Jazzforum Budapest Festival.]], The Budapest Concert est le second album de l’orchestre après Viara (2008). Il est chronologiquement antérieur à Sila, où la trompette de Tamisier venait ajouter une voix au quintet. «Veronique», longue plongée au cœur du répertoire ancien d’Horizons, permet une discussion lumineuse entre les musiciens. Le jeu choral et extrêmement soudé de Kornazov avec le saxophoniste Emile Parisien fait face à une guitare impétueuse, mais jamais en rupture. Ce qui frappe dans cette première partie d’album, c’est l’unité indéfectible du groupe et la fluidité avec laquelle les musiciens s’approprient les thèmes, à commencer par Kornazov lui-même, dont l’impeccable technique sert le propos collectif sans tourner à la démonstration.
La seconde partie consiste en une «Budapest Suite» qui renvoie d’emblée à la dimension narrative qui faisait la force de Sila. Elle a la langueur nostalgique de cette capitale d’Empire déchu, entre est et ouest, campée sur le Danube. Sur «Pleveli» («mauvaises herbes»), une douce tournerie passe d’instrument en instrument pendant que Buronfosse et Codjia devisent. Le fil rouge de la suite se durcit lorsque Parisien dresse une opposition tranchante à la guitare saturée sur « Balkan Spirit », et ce jusqu’au puissant «Feux» et ses allures fanfaronnes. Certainement le témoignage le plus abouti de ce très bel orchestre.»
FRANPI BARRIAUX, CITIZEN JAZZ, decembre 2014
PRESSE "SUZNANIE" JAZZMAN, novembre 2014
«Avec le pianiste brazilien Leonardo Montana, le duo laisse libre cour à leur penchant pour une certaine évidence melodique et harmonique. Puissance et précision rythmique (Montana), travail en finesse sur le souffle et les harmoniques (Kornazov), l'amplitude sonore du tromboniste est sans pareille»
VINCENT COTRO, JAZZMAGAZINE, novembre 2014
«Gueorgui Kornazov fait rugir son trombone. Feulements, plaintes et ronronnements gigantesques, soudaines explosions sonores traversées d’insolites harmoniques lorsque sa voix vient ajouter quelque contrechant dans l’embouchure du trombone. Les pièces s’enchaînent les unes aux autres, laissant rarement le temps au public fasciné le temps d’applaudir ou simplement d’y songer. Un répertoire qui m’évoque un instant Dollar Brand, référence qui se fond dans un tout cohérent, en englobant bien d’autres du domaine populaire, du blues au Balkans sans vraiment se laisser identifier, un tout lyrique, poignant, grandiose, héroïque que Kornazov habite d’une espèce de colère intérieure que tempère à peine la réplique, souvent délicate, de Leonardo Montana. Celle-ci est polymorphe, jouant de l’accord, de l’arpège, de l’accompagnement, d’un bref unisson et du contrechant, stimulant, commentant, contrastant. C’est riche, tout en restant en retrait de l’énorme tuyauterie fauve du trombone qui dévore tout sur son passage, en une interaction à sens unique qui exclut ces moments d’attendrissement réciproque et de magie de la note et du silence croisés que permet le duo. J’adhère immédiatement à la fascination collective mais, au fil des morceaux, je me braque comme face à quelqu’un dont l’amour, la colère, l’indignation ou l’enthousiasme vous submergeraient jusqu’à l’asphyxie.»
FRANCK BERGEROT, redacteur en chef de JAZZMAGAZINE, juillet 2015
«On a beau chercher, fouiller, interroger sa mémoire, arpenter les rayonnages bourrés de surprises des médiathèques publiques et questionner les vieux sages, les duos trombone / piano ne sont pas légion. Pour le reste, la rareté est de mise, en tout cas sur un album entier. C’est dire l’originalité de la tâche que s’assignent Gueorgui Kornazov et Leonardo Montana. Le duo fait preuve d’exotisme: il n’est sans doute pas commun qu’un Bulgare joue en toute complicité avec un Brésilien... Chaque morceau porte un nom bulgare qui en détermine la couleur: «Utrin» (matin), chaud et cuivré, plein d’espoir, «Ochakvane» (attente) est plus méditatif. Montana va quérir dans les profondeurs de ses cordes la pulsation nécessaire pour soutenir le grand sens mélodique de Kornazov, agile et plein de douceur.Le sens rythmique du pianiste permet à son comparse de multiplier les effets d’embouchure et de sourdine qui altèrent le timbre pour mieux lui donner de la profondeur, comme sur l’étourdissant «Poriv» (Rafal): le trombone semble filtrer à travers un déluge d’accords pilonnés. Sur «Strast» (passion), les rôles s’équilibrent, s’échangent parfois lorsqu’il se lance dans un growl impétueux. Le thème, lumineux de simplicité, circule malicieusement entre les deux solistes, dont on partage l’évidente jubilation. Après ce bel album, la question se pose avec acuité.» FRANPI BARRIAUX, CITIZEN JAZZ , janvier 2015
PRESSE «SILA», BMC
Records, "CHOCK" JAZZMAGAZINE, novembre 2013
"Dans cette enregistrement qui accroit l'aspect brillant de cette musique pleine de vie, Gueorgui Kornazov démontre, qu'il n'est pas nécessaire d'abandonner son identité de jazzman pour retrouver la musique d'un autre monde.Son aisance technique n'est jamais démonstrative mais toujours au service d'une émotion intense parfaitement servie par des musiciens de premier plan qui sont totalement immerges dans son univers musical.Delectable!" PHILIPPE VINCENT, JAZZMAGAZINE
"Le style du tromboniste bulgare, à la fois lyrique et caressant, mais aussi profond et plein de rupture a séduit les auditeurs comme ses comparses musiciens"
FRANPI BARRIAUX, SUN SHIP
"Kornazov ressuscite une musique des premières strates d’un monde dual réinvesti par une énergie particulière. Evitant le débraillé, elle reste à la hauteur des ambitions du compositeur - tromboniste. Le sextet invente une nostalgie inédite. Elle prend parfois derrière la mélopée assourdie des accents free-jazz des plus réussis.Vitesse et lenteur offrent un spectacle sonore d’une grammaire jazzistique en suspension. A la sobriété d’ensemble répond une richesse instrumentale exceptionnelle où, à la fois par condensation et enrichissement, Kornazov refuse le « tape à l’oreille » – équivalent sonore du tape à l’œil" JEAN-PAUL GAVARD, LES IMMORTELLES
"Musique limpide comme un flot continu et tranquille qui serpente entre des paysages paisibles et ouverts.Cette formation porteur d’une esthétique fédératrice qui va des confins du folk et des musiques populaires traditionnelles jusque vers des formes originales et inventives toujours accessibles. Un subtil alliage de folklore, d’hymnes et de mélodies envoûtantes toujours ouvertes sur des formes libres"
THIERRY GIARD, CULTURE JAZZ
"Pachydermique et délicat, le trombone n'est pas un instrument a mettre entre toutes les mains. Il faut le sens du vent intérieur, de la voix pour en maitriser la force et la subtilité. Gueorgui Kornazov est de ceux qui parviennent a saisir toutes les nuances de ce pavillon imposant. S'il fallait mettre une étiquette sur la musique de Gueorgui Kornazov on collerait un rédacteur "mélange de jazz occidental et mâtine de traditionnel bulgare", mais c'est bien plus que cela, car les compositions subtiles de Kornazov ne se laisse pas enfermer dans un genre. Cette écriture contemporaine emprunte au classic sonerudition et au jazz sa révolte. Ces pièces doivent être porter par des musiciens qui savent canaliser ou pénétrer le son de cette coulisse abondante. Le guitariste Manu Codjia en fait assurément partie, tout comme l'exaltant saxophone d'Emile Parisien" LES MURS DU SON
PRESSE «VIARA», BMC RECORDS 2008 ★★★ JAZZMAN, fff Télérama
«Nouvel album du fameux tromboniste bulgare Georgi Kornazov. ...C’est avec de la dynamique qu’il manie ici le sens de la composition et de l’orchestration flamboyante. A partir de phrases mélodiques très belles et assez simples, Kornazov délimite ici un espace musical et développe autre chose qui va du registre de l’émotion nue et sensible à l’éclat des tramages des cuivres qui se répondent ou s’unissent dans un groove sous-jacent, très brut»
JEAN-MARC GELIN, LES DERNIERES NOUVELLES DU JAZZ
«La musique de «Viara» est un jazz moderne arrangé avec intelligence, de ce type de musique que l’on a envie d’entendre et qu’on réécoute avec plaisir. Les mélodies, composées en contrepoint alternant avec des parties à l’unisson restent longtemps dans la mémoire des auditeurs. La musique de Kornazov couvre toute la palette des atmosphères possibles, de la beauté songeuse à la sauvagerie tempétueuse»
CONCERTO N°6
«Georgi Kornazov trace sa voie dans cette belle lignée grâce à une plume élégante de compositeur et d’arrangeur. Dans cet album, il a pris soin de marier de façon très équilibrée les textures du trombone, du sax soprano et de la guitare»
YANN MENS, La CROIX
«...Une musique entraînante, fusion de toutes les cultures européennes, à commencer bien sur par celle de l’Est dans le chaudron du jazz restant la référence. Une réussite sympathique que ce « Viara », un de ces disques qui restent dans nos cœurs»
NICOLAS BENIES, ROUGE- Hebdomadaire de la LCR
«Son nouveau CD intitulé "Viara" c'est l'opus le plus personnel du jazzman. Il est tout en justesse de ton, de couleur mais aussi de profondeur. Evitant le trop d'éclats l'artiste crée à travers ses compositions et ses orchestrations des figures souples le plus souvent. On pourrait reprocher à l'ensemble un manque de fluidité mais cette inégalité tient aux différents états d'âme qui ont initié les neufs morceaux qui composent cet ensemble. Néanmoins à travers des ondulations d'une étrange lumière sonore de "lune" surgissent des effets piquants d'un créateur qui sait fabriquer son jazz et l'ordonner de manière aussi modeste qu'impertinente. Ce CD appartient au genre intimiste, nostalgique et amoureux. Les cuivres ne viennent jamais couper les effluves aussi slaves que balkaniques au contraire : tout surgit en touches légères mais jamais négligées preuve (si besoin était) que Georgi Kornazov est un musicien accompli, précis et minutieux sans être jamais précieux. Au charme il préfère la magie et elle agit.» JEAN-PAUL GAVARD, LES IMMORTELS
«Ce disque-là, il est si bon qu’on est tenté de n’en rien dire. Et puis l’on se souvient du plaisir qu’il y a à partager. Georgi Kornazov, c’est un univers mixte entre Bulgarie et jazz occidental, un savant mélange de mélodies irrésistibles passé au tamis de la contemporanéité Appuyé par des musiciens inspirés, le tromboniste laisse libre cours à une expression lyrique, nostalgique, chaleureusement intimiste. Une grandeur d’âme parcourt cette musique, ce qui la distingue c’est indubitable, une justesse pétrie d’émotion aussi» YVES DORISON
«Avec ce disque, Gueorgui Kornazov propose un jazz moderne et très personnel. L’héritage culturel d’Europe centrale est très présent pour notre plus grand plaisir ; ce qui constitue cette composante très chaloupée et émotionnelle. Gueorgui Kornazov impose un climat serein, d’où la tension n’est jamais absente, comme une vague qui ne demande qu’à déferler. L’alternance de climats musicaux très relaxés à la limite de la nostalgie et de longues plages à la rythmique implacable séduit l’auditeur sans relâche. C’est véritablement un album délectable !Une réalisation à saluer et un artiste à découvrir… d’urgence!» LAURENT THORIN, HAUTE FIDELITE
PRESSE «ESSENCE DE ROSE» CRISTAL RECORDS 2004, ★★★ JAZZMAN
«Ah, nostalgie, quand tu nous tiens ! Gueorgui kornazov connaît son sujet et ne triche pas quand il parle de déracinement et de mal du pays. Du folklore traditionnel bulgare, dont il sait sur le bout des doigts les subtilités et les dualités (lui qui a fait ses premières armes là-bas, aux côtés du grand clarinettiste Ivo Papazov), du jazz, tradition hybride et duelle si l’en est, mille fois recomposée, le tromboniste et compositeur de trente-trois ans sait tirer le nécessaire. Kornazov compose avec sa mémoire (Spomen, le souvenir), avec les chants et mélodies de son enfance, et trouve les mots justes. Jamais larmoyants, dépassant le stade laconique de l’évocation. C’était le cas déjà dans son premier opus, « Staro Vrémé », (quatre étoiles dans Jazzman il y a trois ans). Moins « raide », moins « inquiète » que dans le précédent, l’empreinte d’une Bulgarie enfuie se fait néanmoins plus insistante, tant dans l’écriture que dans les couleurs instrumentales – marquée par la présence de Krassen Lutzkanov au Kaval, cette flûte traditionnelle rencontrée auparavant chez Bojan Z et lourau. Certains pourraient s’agacer de ces teintes répétées au fil des plages, quelque peu enivrées par une âme slave bien entêtante, et par le chassé-croisé impudique de « soufflants » très exposés. Mais c’est un parti pris bien surmontable ; quand les soufflants en question ont la faconde et l’énergie sauvage d’un Stéphane Guillaume (par exemple) et quand les facéties du leader sont ainsi « cassées » par la guitare vagabonde d’un Manu Codjia, on est prêt à fermer les yeux et à prendre le premier train express pour Sofia.»
JONATHAN-DUCLOS ARKILOVICH, JAZZMAN, octobre 2004
«(…) Gueorgui Kornazov se produisait d'abord en duo. Echange intense avec Manu Codja, qui mettait en évidence leurs affinités : sens du rythme, travail du son, goût de la mélodie – la brièveté de la prestation fait attendre d'autres rencontres de ce type. En quartette, la complicité des deux voix solistes se confirmait : Kornazov dans le gras du trombone, tout en rudesse coulée et fluidité rugissante, Codjia ahurissant d'inventivité, aussi bien comme soliste qu'en accompagnateur, immergé corps et âme dans l'acte musical au service du groupe.(…)
THIERRY QUENUM, JAZZ MAGAZINE, septembre 2005
PRESSE «STARO VREME» YOLK RECORDS 2001 ★★★★ JAZZMAN
"Désormais bien ancré dans le paysage musical français, les compositions et les arrangements de Gueorgui Kornazov sont autant de rencontres entre la musique traditionelle bulgare et la culture jazz européenne. Parfois très enlevée, d’autres fois très romantique et poignante, toujours jouée avec une intense émotion, la musique de ce Quintet vraiment original est tout bonnement saisissante."
THIONVILLE ACTION MUSICALE, février 2006
"Kornazov compose avec sa mémoire,(...) avec les chants et mélodies de son enfance et trouve les mots justes."
JONATHAN-DUCLOS ARKILOVICH, JAZZMAN, octobre 2004
"Musique du déracinement et de l’enracinement, le jazz ne cesse d’afficher cette contradiction apparente. Dualité que le tromboniste Gueorgui Kornazov pointe sans doute par l’un de ses titres " ORIENT OCCIDENTAL ", si évocateur de sa Bulgarie natale." "Le jazz, devenu son langage, se fait le reflet d'une diversité d'influences qui lui donne sa richesse sans le limiter."
VINCENT BESSIERES, JAZZMAN, 2001
"... Gueorgui Kornazov déploie son trésor d’éloquence au trombone ... La jeunesse de ses cinq musiciens ne les empêche pas de figurer parmi les quelques talents les plus sollicités du jazz français d’aujourd’hui " "... Une âme sublime ..."
JAZZ CLUB d’AUXERRE
"... De cet original nuancier sonore, se dégage une belle énergie sauvage, des rêves de grands espaces et de voyages imaginaires ..." PANNONICA, NANTES
"Quintet volubile, sophistiqué, puissamment lyrique, toujours prompt à bouleverser les cadres compositionnels pour laisser libre cours à l’inspiration individuelle, il mêle avec un grand sens de l’alchimie sonore un art de la forme élaboré, un goût prononcé pour la mélodie et une forte propension à l’improvisation."
FRANCK MEDIONI, JAZZMAN